Le saviez-vous ?

C’est lorsqu’il fait chaud que votre corps a le plus besoin d’énergie pour réguler sa température interne et garantir l’intégrité de ses fonctions métaboliques.

Pour s’adapter à la canicule, dès que la température corporelle dépasse 37 °C, il met en action des mécanismes de régulation thermique : il se met à transpirer et la respiration s’accélère (la chaleur est alors éliminée via l’eau et la vapeur d’eau rejetées).  Les vaisseaux sanguins situés à la surface de la peau augmentent de diamètre (vasodilatation) pour refroidir le sang.

Cela nécessite beaucoup plus d’énergie que de maintenir la température corporelle par temps froid. 

Lorsque le corps est exposé à des températures froides, il peut ralentir son métabolisme, sa respiration, réduire le flux sanguin vers la peau et les extrémités pour conserver la chaleur corporelle.

Votre santé est en danger lorsque la température extérieure s’élève de façon excessive.

Les canicules provoquent toujours de la fatigue. Elles nuisent à vos performances physiques, mais aussi mentales.

Le cerveau subit les conséquences de la chaleur : composé à 78 % d’eau, une déshydratation, même légère, affecte les fonctions cognitives et altérer les émotions. Anxiété, maux de tête, altération du jugement… sont autant de signes indicateurs de la déshydratation. On se sent confus et incapable de travailler.

La déshydratation c’est aussi une fuite d’oligo-éléments qui peut causer des crampes musculaires, de la fatigue et de l’anxiété (manque de magnésium). Le manque de zinc peut causer une perte de cheveux, une diminution de l’immunité et une cicatrisation lente. Le manque de calcium peut causer une faiblesse musculaire.

Vous savez qu’il est alors nécessaire de boire beaucoup et souvent, mais ce n’est pas tout.

Pour faire face à la demande accrue d’énergie de l’organisme tout entier,  il faut entretenir et améliorer votre oxygénation cellulaire.

Cela est d’autant plus compliqué que les canicules sont généralement associées à une forte pollution de l’air, laquelle entrave la capacité de l’organisme à capter et utiliser correctement l’oxygène apporté par la respiration.

 

La solution Bol d’air Jacquier est alors d’un véritable secours. Cette méthode est la seule et unique approche naturelle de l’oxygénation cellulaire.
Elle  se différencie de toute méthode quantitative (ajout d’oxygène). De ce fait elle est sans hyperoxygénation et sans risques radicalaires.
Elle permet de lutter contre l’hypoxie, d’augmenter nos capacités de défense et d’adaptation.

Elle procure de l’énergie et diminue la fatigue.
Vous pouvez la pratiquer régulièrement et même tous les jours. N’attendez pas l’hiver pour faire du Bol d’air.
Vous profiterez mieux de vos vacances et vous capitaliserez ses bienfaits pour affronter l’hiver !