Couramment utilisée chez l’humain, la méthode Bol d’air a pour but d’améliorer la vitalité et la capacité de résistance au stress oxydatif. Le Bol d’air Équin, par une adaptation technique et ergonomique, la rend accessible pour le cheval.

La forêt des Landes au cœur de votre écurie

Il faut savoir que l’essence de pin maritime (Pinus Pinaster) se distingue de toute autre essence par une propriété exceptionnelle.
Dans la forêt, certains jours à certaines heures, il se produit un phénomène très particulier. Sous l’influence conjointe des UV et de la fonction chlorophyllienne, les molécules aromatiques de l’essence de pin maritime se transforment en porteurs d’oxygène.
Dans ces conditions naturelles particulières, elles ont la capacité de capturer puis de redonner jusqu’à 135 fois leur poids en oxygène.
Ces molécules vont naturellement s’associer à l’hémoglobine pour transporter l’oxygène au cœur des cellules. Ainsi, tout le corps du cheval bénéficie d’une oxygénation cellulaire équilibrée, pour plusieurs heures.

Le principe du Bol d’air Équin

Le Bol d’air Équin reproduit ce phénomène qui se produit naturellement dans les forêts pour permettre une optimisation de l’oxygénation cellulaire.

Par un dispositif technologique, les molécules terpéniques (alpha et béta-pinènes principalement) vont être peroxydées et acquérir des propriétés nouvelles : elles deviennent des porteurs d’oxygène.

Respirés par le cheval régulièrement, ces porteurs d’oxygène, en s’associant à l’hémoglobine, deviennent des biocatalyseurs.
Dans ce complexe biocatalytique, la liaison oxygène/hémoglobine est instable. C’est précisément grâce à cela que l’oxygène est facilement libéré vers les cellules.

Un cycle bénéfique se met en place, pour plusieurs heures : un nouvel oxygène peut à nouveau être capturé, puis un autre…
Le Bol d’air Équin n’est donc ni un diffuseur, ni un nébuliseur.

Lutter contre le stress oxydatif

Chez les chevaux de sport et de course, l’exercice intense induit des déséquilibres entre oxydants et antioxydants à l’origine d’un stress oxydant.
Plus la consommation d’oxygène est importante, plus le phénomène oxydatif est grand. Or, le cheval est un athlète qui peut augmenter jusqu’à 30 fois sa consommation d’oxygène.
Étant donné qu’entre 2 et 5 % de l’oxygène est converti dans la cellule en diverses formes de pro-oxydants, le cheval est, en raison de sa capacité respiratoire, particulièrement exposé aux effets de l’oxydation.
Antoine Tartare. Pathologies du cheval de sport : rôle du stress oxydant. 2010. hal-01732237
Mills et al., 1996 ; Kirschvink et al., 1999 ; de Moffarts et al., 2004a

Les observations scientifiques, réalisées à l’Université de Dijon, mettent en évidence le rôle du Bol d’air dans l’augmentation de la capacité anti-radicalaire des organismes, in vivo et ex vivo. Il ne s’agit pas d’ingérer un anti-radicalaire spécifique mais de renforcer la capacité de réaction globale de l’organisme lors des inhalations Bol d’air. Ainsi la méthode est à la fois oxygénante et non oxydante alors que l’augmentation d’oxygène, couramment utilisée dans d’autres méthodes, comporte le risque de générer un stress oxydatif de la cellule.

Le Bol d’air équin apporte une oxygénation cellulaire naturelle et parfaitement équilibrée : le cheval va respirer des porteurs d’oxygène, et non de l’oxygène, ce qui est fondamental. Les cellules vont recevoir exactement la quantité d'oxygène dont elles ont besoin pour fonctionner.

Il n’y a donc pas de risque de stress oxydatif lié au manque, ou à l’excès d’oxygène.