Selon l'ANSES, le bien-être animal est défini comme « l’état mental et physique positif lié à la satisfaction de ses besoins physiologiques et comportementaux, ainsi que ses attentes. Cet état varie en fonction de la perception de la situation par l’animal ».

L’évaluation du bien-être animal, quelle que soit l’espèce, s’effectue selon quatre grands principes : l’alimentation, l’hébergement, le comportement et la santé.

N’oublions pas que le cheval est un athlète de nature, fait pour vivre dans de grands espaces, loin de la pollution. Hélas, les conditions d’hébergement, d’entraînement, de vie ne sont plus en adéquation avec sa nature profonde. Contention en box, transport, stress, impactent négativement sa santé et diminuent ses capacités physiques.

Avec le Bol d’air Equin, le cheval va recevoir l'oxygénation cellulaire équilibrée dont il a besoin pour vivre selon son plein potentiel.

Une capacité respiratoire hors du commun

Pour assurer la bonne santé de votre cheval, il est important de comprendre comment celui-ci fonctionne.

Si sa locomotion est essentielle pour de bonnes performances, rien ne serait possible sans un système respiratoire performant.
C’est ce dernier qui va assurer les apports en oxygène,
nécessaire au fonctionnement de tout l’organisme, ainsi que le rejet du gaz carbonique.
Quand on parle de respiration, on pense probablement aux poumons et aux naseaux du cheval, mais le système respiratoire est un petit peu plus complexe.

La quantité d'air mise en mouvement peut atteindre 50 000 litres par jour. La surface d’échanges gazeux des poumons dépasse 500 m2, donc la taille d’une piscine olympique.

Un cheval ne respire pas par la bouche, il n'utilise que ses naseaux. Les chevaux sont donc contraints de respirer par le nez ce qui est très limitant. En plus, leurs narines sont relativement petites et leurs “conduits respiratoires” assez fins. Ceci induit une grande résistance au moment de la respiration. Ils doivent donc “forcer” un peu plus que nous pour respirer.

Son immunité et son seuil de résistance à l’effort dépendent de son niveau d’oxygénation, c’est-à-dire de la façon dont le sang est capable de capter l’oxygène au niveau pulmonaire, de le transporter et de le libérer vers les cellules pour assurer la production d’énergie.

Toute limitation de sa capacité d’oxygénation est pénalisante pour son état général et ses performances.

> 8-15 mouvements/min

> 66 L/min

> 50 L

> 60 %

> par les naseaux

> 8-15 mouvements/min

> 5,4 L/min

> 6-7 L

> 30 %

> par la bouche et le nez

Les bénéfices d’une bonne oxygénation cellulaire

Les cellules ont besoin d’une oxygénation constante et équilibrée, afin de répondre à la demande énergétique.
Les pollutions, le stress, ont une action limitatrice de l’oxygénation et provoquent des radicaux libres en excès, tout comme l’effort extrême.
Les tissus deviennent “hypoxiques” et tendent à l’inflammation. Plus de 40 000 publications scientifiques établissent un lien entre hypoxie - manque d’oxygénation cellulaire - et la plupart des problèmes de santé humaine et animale. L’hypoxie serait un des facteurs principaux du manque de capacités régénératrices. Il est donc toujours important d’améliorer l’oxygénation tissulaire tout en augmentant la résistance au stress oxydatif.

Une oxygénation cellulaire équilibrée est intéressante pour :
> La préparation respiratoire avant concours
> L’endurance et la résistance à l’effort
> Une meilleure tenue en concours
> La récupération immédiate à l‘effort

Dans quels autres cas est-il nécessaire d’optimiser l’oxygénation cellulaire du cheval ?
> Anxiété, stress
> Tic à l‘appui
> Entraînement confortable