René Jacquier était ingénieur et chimiste à l'origine de nombreuses découvertes dans les domaines de la lumière, de la matière et de la biosynthèse.
Un grand homme qui nous a quittés il y a 15 ans, à l’âge remarquable de 99 ans. 

Nous lui rendons hommage  
Pour son humanité joyeuse et son intelligence bienveillante 
Pour ce regard clair, humble et éclairant, qui nous manque 
Pour cette œuvre scientifique qui continue de porter ses fruits, bien au-delà de son époque. 
Ce qu’il a initié reste devant nous : un héritage vivant, fertile, dont la pertinence ne cesse de se confirmer à mesure que la science progresse. 

En 1946, il met au point une méthode d’oxygénation, sans oxygène ajouté, réalisée à partir de molécules issues de la résine de pin, transformés en porteurs d'oxygène. Une solution d'avenir pour vivre et respirer au temps des pollutions.

Plus de soixante-dix ans après l’invention du Bol d’air Jacquier, ses intuitions apparaissent aujourd’hui comme profondément en avance sur leur temps. À l’heure où les grandes disciplines de la biologie convergent autour des mécanismes cellulaires de la vitalité et de l’hypoxie, la capacité des cellules à gérer l’oxygène deviennent les clés fondamentales pour comprendre, non seulement la maladie, mais aussi la longévité, l’énergie vitale et la régénération.

Un éclaireur de la biologie de la vie durable 

Son ambition : trouver une solution naturelle pour rendre l’oxygène de l’air biodisponible quelques soient les conditions du milieu – de l’air lui-même (pollution) et du contexte physiologique (qualité de l’hémoglobine, ph , température ..), à l’ensemble des cellules, des tissus et des organes

L’oxygène est un gaz paradoxal : il est à la fois vital et potentiellement toxique lorsqu’il est en excès. Ainsi toutes les fonctions de l’organisme dépendent d’une oxygénation cellulaire équilibrée sans stress oxydatif et sans radicaux libres en excès. Mais comment faire pour améliorer simplement l’oxygénation cellulaire ? 

René Jacquier trouve la solution : « l’oxygénation biocatalytique » . A partir de la transformation de molécules aromatiques issues de la résine de pin, capables de rendre l’oxygène plus assimilable, plus efficace pour l’ensemble de l’organisme. 

Aujourd’hui, les recherches scientifiques modernes confirment son intuition :  stress oxydatif chronique, hypoxies cellulaires silencieuses, vieillissement mitochondrial sont au cœur des désordres caractéristiques de la vie moderne, entrainant fatigue chronique, inflammation, perte de neuroplasticité, troubles métaboliques, dégénérescences, cancers… 

Or, ce sont ces mêmes verrous biologiques que le Bol d’air Jacquier contribue à desserrer : 

  • Il augmente l’oxygénation tissulaire sans hyperoxie. 
  • Il optimise la respiration mitochondriale, donc la production d’ATP (énergie). 
  • Il améliore les capacités anti-radicalaires de l’organisme (thèse de B.Mercier). 
  • Il soutient l’activité des enzymes de réparation cellulaire, mobilisées dans les processus de longévité (SOD, Catalase). 
  • Il favorise un état général d’eutrophie et d’homéostasie dynamique, indispensable à la prévention comme à la régénération. 

C’est toute la promesse de l’oxygénation biocatalytique : 

  • Soutenir l’énergie cellulaire sans créer de stress oxydatif, 
  • Activer les processus naturels sans agresser l’organisme, 
  • Favoriser une régénération douce, profonde, durable. 

Nous ne manquons pas d’oxygène, c’est la capacité à l’utiliser pleinement qui nous fait défaut. 

L’avenir d’une invention essentielle 

Dans un monde saturé, pollué, où nos cellules suffoquent, dans une vie stressante ou sédentaire, cette technologie ouvre une respiration nouvelle. 

  • Elle devient une alliée de l’hyper-santé
  • Elle s’intègre aux parcours de soins et de prévention de la santé intégrative
  • Elle prépare le terrain pour des pratiques thérapeutiques plus efficaces : activité physique, régimes, soins cognitifs, manuels ou émotionnels… 

Le Bol d’air ne promet pas un miracle. Il propose de renouer avec l’essentiel. 
Une manière de réconcilier le souffle, le corps et la vie
Une technologie sobre et respectueuse, qui incarne la santé du futur

De l’atome à la lumière 

René Jacquier, invité à 99 ans par le Professeur Émile Aron, 102 ans, doyen de la Faculté Nationale de Médecine, utilisateur du Bol d’air, participa à un débat sur le vieillissement. 

Deux esprits vifs, éclairés, profonds, dialoguant sur la biologie, la vie, la lumière,... 
Et ce mot de conclusion du Pr Aron, à l’adresse de René : « Mais c’est vous, la lumière… !» 

Dans son livre, oxygénation et longévité, le Pr Aron précise : « L’oxygénation biocatalytique permet des résultats que l’oxygénation classique ne permet pas. » 

Aujourd’hui, nous poursuivons son œuvre. 
Avec respect, avec confiance, avec gratitude. 
Et avec la conviction que ce qu’il avait compris avant l’heure s’impose aujourd’hui comme une évidence…
Et plus encore : comme une nécessité indispensable à notre santé et à notre temps.