Foire aux questions
Vous trouverez ici la réponse aux questions les plus fréquemment posées. Si vous ne trouvez pas ce que vous recherchez, n’hésitez pas à nous contacter.
L’utilisation du Bol d’air est on ne peut plus simple : après avoir allumé l’appareil et sélectionné la durée de votre séance, vous vous placez à 10 cm au maximum de la corolle et vous respirez normalement, par le nez. Le principe de cet appareil n’est pas de respirer plus d’oxygène, mais de mieux assimiler l’oxygène respiré. L’air atmosphérique pulsé passe dans un récipient et se charge des composés volatils contenus dans le mélange spécial Bol d’air, Orésine. Ces composés sont soumis à une transformation chimique leur permettant d’accrocher l’oxygène atmosphérique : c’est la peroxydation. Les composés obtenus « peroxydés » sont très actifs, et pour permettre une efficacité maximale, ils doivent être inhalés au moment de leur fabrication.
L’apport en oxygène est un besoin constant et vital de l’organisme. A l’inverse des substances nutritives qui peuvent se stocker dans les tissus, l’oxygène ne peut être mis en réserve. C’est pourquoi, toute notre vie, nous sommes dépendants de l’oxygène que nous respirons et, mieux encore, de la façon dont nous l’utilisons. Le manque d’oxygène est un facteur déterminant dans l’apparition des troubles les plus simples et des maladies les plus graves. Or, nous ne manquons pas d’oxygène dans l’air ambiant et la plupart du temps une augmentation de l’oxygène respiré sera de peu d’effet. Il est beaucoup plus intéressant de faciliter son « assimilation » à l’aide d’un catalyseur naturel. C’est ce que permet le Bol d’air, sans provoquer d’hyper oxygénation ni d’oxydation du terrain car les produits inhalés sont anti-radicalaires.
Dans l’organisme, le Bol d’air relance le processus naturel d’assimilation de l’oxygène qui s’atténue avec l’âge, le stress, les maladies, les pollutions atmosphérique et alimentaire. Faire des inhalations régulières augmente la vitalité, améliore le terrain en favorisant notre fonctionnement normal. Ainsi, nous sommes naturellement plus disposés à réagir sainement à toutes les agressions.
Il n’y a aucune accoutumance. Le Bol d’air favorise un processus d’amélioration de l’état général. En fait, comme on se sent mieux, on a plutôt tendance à oublier les séances.
Tout dépend de vos besoins. Les résultats du Bol d’air sont liés à son utilisation. Une seule séance a des répercussions immédiates sur l’état nerveux. Certains professionnels de santé utilisent l’appareil pour obtenir une parfaite relaxation de leurs patients. Les cures peuvent se dérouler par séquences de trois séances par semaine. Mais bien sûr, il est plus intéressant de faire des séances quotidiennes et de considérer le Bol d’air comme une hygiène de vie régulière. Dans ce cas, il est possible de faire plusieurs séances par jour car chaque inhalation initie un processus qui dure environ 4 heures. On peut donc faire 3 à 15 minutes, trois fois par jour.
Le Bol d’air, en stimulant la vitalité de l’organisme, peut entraîner des perturbations légères et passagères comparables à celles que l’on observe lors d’une cure thermale, la reprise d’un sport, un changement d’alimentation ou un traitement homéopathique. Il ne s’agit pas d’un effet iatrogène mais plutôt d’une élimination qui peut se traduire par une fatigue passagère. Lors de ces désagréments ponctuels, nous conseillons de ne pas arrêter les séances mais de les réduire et de les espacer temporairement.
Le Bol d’air Jacquier n’est pas un médicament. Il apporte une réponse sans danger à la sous oxygénation dont nous souffrons tous à des degrés divers. Il est en total accord avec les autres méthodes de santé (alimentation saine et équilibrée, compléments alimentaires, vitamines, allopathie, homéopathie…). L’ensemble des théories de René Jacquier, à l’origine du Bol d’air®, a fait l’objet d’un ouvrage De l’Atome à la Vie, sélectionné prioritairement en 1962 sous la rubrique « Science et Médecine » des Tables des ouvrages recensés et sélectionnés pour les bibliothèques de l’enseignement public (arrêté du 28 février 1951). Les résultats obtenus par l’appareil ont fait sa notoriété, et il existe de nombreux témoignages de médecins et de particuliers rendant compte de son efficacité. Mais c’est seulement sur des bases scientifiques modernes que l’on peut asseoir une publicité très détaillée. Holiste a donc entamé des travaux qui viennent valider les anciens (voir les travaux scientifiques). Les résultats obtenus ont permis plusieurs publications et présentations à des congrès mondiaux et européens. Ainsi, il est maintenant démontré qu’il s’agit bien d’une oxygénation qui stimule l’activité anti-radicalaire de la cellule.
Non, il est utile en hygiène de vie, pour toute la famille, petits et grands. Il est par exemple utilisé par des sportifs de haut niveau en excellente santé. Le Professeur Andréa Lino (Université de La Sapienza) le recommande pour la préparation physique avant la compétition et après, pour la récupération. De nombreux particuliers l’utilisent simplement pour garder la forme.
Le Bol d’air ne doit pas être utilisé par des personnes souffrant d’allergie à la térébenthine, d’épilepsie terpène dépendante et de convulsion. Il est toujours conseillé de commencer par de courtes séances et de procéder progressivement, notamment dans les cas d’asthme, spasmophilie, allergie et hyperthyroïdie. Il est préférable de ne pas utiliser le Bol d’air chez les femmes enceintes et allaitantes, ni chez les enfants de moins de 36 mois. Le Bol d’air ne remplace pas vos traitements habituels ; demandez l’avis à votre médecin.
L’entretien est très simple et absolument indispensable. Un nettoyage régulier de la verrerie est nécessaire (toutes les 3 à 4 semaines), à chaque changement d’Orésine, ou à chaque fin de cure. Il est important de bien rincer les 2 flacons avec le composé Orésine®neuf, voire de les faire tremper dans de l’alcool à 70° s’ils sont très collants et difficiles à nettoyer. Ensuite, il est impératif de rincer les flacons à l’eau courante et de les faire sécher complètement avant une nouvelle utilisation. Un mode d’emploi très complet vous est fourni avec l’appareil et des vidéos de nettoyage sont disponibles sur le site.
L’investissement peut paraître important mais le coût de fonctionnement est dérisoire. Une séance revient à moins de 0,08 € (soit trois fois moins chère qu’une gélule de complément alimentaire). De plus, toute une famille peut en profiter pendant des années, en évitant beaucoup d’autres formes de médications. À la fois concepteur, fabricant et développeur, nous souhaitons que cette méthode, originale et exceptionnelle dans ses résultats, devienne accessible à tous. Nous avons fait de nombreux efforts pour que les appareils soient plus pratiques, plus performants et moins chers. Ce sont des appareils techniquement complexes, comportant des éléments nobles souvent fabriqués à l’unité. Nous avons choisi de maintenir une production française qui reste encore semi-artisanale. Bien sûr, il est possible que le Bol d’air Jacquier puisse vous paraître encore trop cher, aussi nous vous rappelons que vous pouvez faire des cures chez un praticien de santé (plus de 700 centres en France, 2500 professionnels qui nous font confiance) ou bien opter pour un système de location;
L'huile essentielle de pin maritime, aussi appelée térébenthine officinale, est reconnue pour ses bienfaits sur la santé respiratoire.
Le pin maritime, Pinus Pinaster, est dépourvu de delta-3-carène et n'est donc pas allergisant.
Le composé terpénique spécial Bol d’air s’appelle Orésine®, l’or des pins, pour plus de poésie. Ce produit est précieux. Il est obtenu à partir de la gemme (la résine) du pin Pinus pinaster d’origine Landaise ou Portugaise. Par distillation à la vapeur d’eau, la térébenthine est séparée de la colophane (ne pas confondre avec les térébenthines industrielles impropres à une utilisation en médecine, en aromathérapie et en cosmétique). Après filtrage, cette huile essentielle est strictement contrôlée par Holiste. Seule la qualité adaptée à une utilisation dans le Bol d’air®(sans Delta 3 Carène) est sélectionnée. Le Label Ecocert valide sa qualité biologique et alimentaire. Ses propriétés sont multiples et connues depuis l’antiquité. L’une d’entre elles est particulièrement étonnante et unique : c’est sa capacité à capter de l’oxygène et à le redonner dans certaines conditions. Le Bol d’air utilise cette capacité (peroxydation selon une technologie adaptée) et crée les conditions qui permettent de réaliserin vivo, une oxygénation ditebiocatalytique.
Une fois le composé spécial Orésine acheté, vous avez 3 ans pour l’utiliser dans votre appareil Bol d’air si la bouteille est restée fermée. Une fois ouverte, il faut l’utiliser dans l’année qui suit.
Le numéro de lot inscrit sur l'étiquette correspond à la date de mise en bouteille. Par exemple, ce numéro 𝘓220707-𝘉6 indique une mise en bouteille le 07 juillet 2022. À partir de cette date, elle se conserve donc 3 ans lorsqu’elle est fermée et 1 an une fois ouverte.
Elle doit être conservée à l’abri de la lumière et de la chaleur
Ne pas jeter le produit Orésine usagé dans les canalisations, le déposer à la déchetterie ou peut être utilisé pour les applications ci-dessous :
• solvant des peintures et vernis
• nettoyage des boiseries brut, des tomettes et des sols en ardoise (2/3 huile de lin – 1/3 de térébenthine)
• entretient des meubles cirés (mélangé avec de la cire d‘abeille)
• antirouille pour les outils
• détachant pour la peinture fraîche, les moisissures, la graisse, le goudron…
Concernant le décret du Journal Officiel d’août 2003 largement diffusé sur internet, nous tenons à faire le point. Il ne nous interdit pas de fabriquer, de vendre ni de faire de la publicité sur le Bol d’air®, mais seulement d’utiliser des revendications basées sur des preuves scientifiques jugées à l’époque insuffisantes : les travaux antérieurs aux années 80 pour justifier d’une allégation étant considérés comme obsolètes, et les témoignages de médecins comme anecdotiques.
Depuis 2003, nous avons entamé une démarche scientifique pluridisciplinaire avec des méthodes modernes et officiellement reconnues, et dont nous communiquons régulièrement les résultats et publications. Dans notre démarche, nous avons le soutien de nombreux partenaires, comme l’ANVAR-OSEO (Ministère de la Recherche), la DRIRE, le FEDER (Europe).